B. Une perte de productivité dans les entreprises.

Comme le pourcentage d’obèses au Etats-Unis est important, il n’est pas rare pour une entreprise d’avoir un ou plusieurs employés obèses.

Ce type d’employé peut créer des troubles au sein de l’entreprise. En effet ceux-ci sont plus lent qu’un employé sain, ils n’ont pas de réel conditions physique, ont pour certains des problèmes d’articulation, ce qui crée une lenteur certain.

Un employeur ne peut donc attribuer une tache physique à ces personnes obèses sous peine de contrer la productivité.

Pour exemple, un individu en surpoids travaillant dans une usine, subira plus de contraintes que ces collègues, déjà toute une journée il devra porter son poids si il est debout, il devra suivre une cadence rapide malgré son manque d’endurance …

En plus de ce manque d’adaptation à certain de type de travails, les obèses font partis d’une des catégories d’individus les plus absents au travail.

En effet une étude publiée par le Journal of occupational and Environmental Medecine chiffre que l’absentéisme coûte chaque année entre 14,4 millions dans le Wyoming a 907 millions en Californie.

L’obésité coûte également a l’entreprise par le biais de la sécurité social.

Aux Etats-Unis ce procédé d’assurance maladie n’est mise en place que tardivement par le président Obama, ces lois se nomment : Protection and affordable care act et Health insurance portability and accountibility act.

Mais celle-ci ‘est pas encore totalement au point et n’a qu’un impact très faible sur la population. Pourtant entreprises et assurances doivent cotiser pour ces obèses qui coutent chère comme vu précédemment.

Aussi ont peut prévoir comme le mentionne lepoint.fr, « 6 employeurs sur 10 prévoient désormais d'imposer des pénalités financières à leurs employés qui ne prendraient pas les mesures nécessaires pour améliorer leur santé ».

C’est ainsi que ce créera peut être un conflit au sein des entreprises américaines.

La "sécurité social" américaine approuvé par le président Barack Obama